Description

BLOY Léon

C’est un plaidoyer en faveur de la sanctification de celui qui en 1492 découvrir le Nouveau Monde, dont le patronyme – soutient l’auteur – renvoie à la colombe, symbole de l’Esprit-Saint. Telle était la « mission » bloyenne évoquée par Léon Treich le 9 mai 1925 pour la revue Les Nouvelles littéraires : souligner la dimension paraclétique de Christophe Colomb, Jeanne d’Arc et Napoléon Ier ; Paraclet qu’il décrit minutieusement dans Le Salut par les Juifs.