124 ans après sa première publication, Belle-de-Mai Éditions réédite Les Déracinés de Maurice Barrès, premier tome de la trilogie « Le roman de l’Énergie nationale ».
Nous poursuivons ici notre survol barrésien des dimanches de cette année 2023, avec l’annonce de la réédition par Belle-de-Mai Éditions du Jardin de Bérénice, qui fait suite aux deux premiers tomes de la trilogie « Le culte du moi », Sous l’œil des barbares et Un Homme libre.
Nous poursuivons ici notre survol barrésien des dimanches de cette année 2023, avec, pour le mois de mars, l’annonce de la réédition du deuxième tome de la trilogie « Le culte du moi », Un Homme libre.
Y-aura-t-il une « affaire Barrès », une de plus parmi celles montées par les réseaux déconstructeurs de nos gloires nationales, littéraires, militaires, artistiques, philosophiques, politiques, religieuses ou autres ? On célèbrera en 2023 un double anniversaire barrésien : celui des cent ans de la mort de Maurice Barrès (1923) et celui des 110 ans de la parution de La Colline inspirée.
Ce texte remarquable parut en 1916, en pleine Première guerre mondiale. Les Français, subissant les tranchées et son lot d’horreurs, avaient besoin d’une figure à même de les rassurer, de les galvaniser, autant que de les rassembler.
NOMBRE DE PAGES 220
Quand, en 1950, les éditions Les Quatre Jeudis publient ce livre, Charles Maurras est en prison. Dédié à Maurice Pujo, c’est le seul roman du fondateur de l’Action Française, même si lui préférait parler de « conte », à la fois « moral, magique et policier » ; Le protagoniste de l’histoire est Denys Talon – alter ego de l’auteur –, qui a embrassé une brillante carrière d’écrivain.
NOMBRE DE PAGES 300
Dans une lettre datée de septembre 1915, Charles Maurras écrit à Maurice Barrès que L’Étang de Berre doit être vendu au profit des blessés du XVe corps car « c’est avec lui que j’aurais combattu si j’avais pu ».
Le théoricien du syndicalisme-révolutionnaire Sorel expose ce qu’il reproche à la pensée kantienne, est extrait de son essai Réflexions sur la violence